Issu d’une famille originaire de Aït Yenni (Agouni Ahmed), en Kabylie, Arezki Metref vit à Bouira puis Laghouat et à Alger à partir de 1956. Élève de l’Institut d’études politiques d’Alger, il devient en 1972 journaliste, collabore notamment à L’Unité, Révolution africaine, El Moudjahid, Algérie-Actualité.
En janvier 1993, il crée avec Tahar Djaout et Abdelkrim Djaad l’hebdomadaire Ruptures, dont il est rédacteur en chef.
Après l’assassinat de Djaout, il part en 1993 en France et ne retourne en Algérie qu’en 2001. Il collabore au quotidien londonien The Guardian, aux revues Autrement, Maghreb-Machrek, Panoramique et à la rubrique monde de l’hebdomadaire Politis. Il donne également des conférences sur l’Algérie en France et à l’étranger.