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Les lauréats de la 8e édition du Prix Mohammed Dib pour la meilleure fiction écrite dans les trois langues algériennes, le tamazight, l’arabe et le français ont été distingués, lors d’une cérémonie organisée, samedi 22 octobre 2022, au palais de la culture Abdelkrim Dali de Tlemcen.
Les autorités locales de la wilaya de Tlemcen, des écrivains et hommes de culture ont pris part à la remise des prix initié par l’association culturelle « La Grande maison » de Tlemcen dédiée à l’auteur de L’incendie.
Le prix du meilleur roman en langue arabe est revenu à Amel Bouchareb pour son œuvre « Au commencement était le verbe ». Le jury a décerné le prix Mohammed Dib pour la langue tamazight à Walid Sahli pour son roman « Taeggagt (le tourbillon)» alors que le prix de la fiction en langue française a été remis à Keltoum Staali pour son recueil « La ville aux yeux d’or ».
Ces lauréats ont été choisis parmi trois concurrents dans chaque catégorie (langue d’expression).
Dans la catégorie du roman de pression amazighe, les trois auteurs qui ont brigué le prix sont, respectivement, Zihra Aoudia « Tiziri » ; Fadila Oulbsir « Tawes Ibeledeiden » et Walis Salhi « Taeggagt ».
Trois romans en langue arabe ont été en course. Il s’agit de « Au commencement était le verbe » de Amel Bouchereb, « Apprends-moi comment pardonner » d’Amina Yagoub et « La mort du capitaine » de Hamid Abdelkader.
Enfin, dans la catégorie du roman de langue française le podium est convoité par trois romanciers: Kaltoum Stazli « La ville aux yeux d’or » ; Caroline Chevalier « Prodigieuse fortune » et Hedia Bewahli « L’agonisant ».